Rêver c’est le bonheur, attendre c’est la vie..
Victor hugo, les feuilles d’automne.
où il y a de la vie il y a de l’espoir…
Rêver c’est le bonheur, attendre c’est la vie..
Victor hugo, les feuilles d’automne.
Le journaliste est un interprète de la curiosité publique. Bernard Pivot
Il faut que la presse paraisse, surtout pas qu‘elle paresse ! Claude Frisoni
Approche en ma demeure, viens détendre tes ailes,
Chauffe auprès de mon coeur tes blessure charnelles
Et caresser l’ivresse de mes aubes orange
Où la tendre allégresse frôle le dos des anges.
Ecoute mon murmure filant comme l’eau claire
Transparente et si pure roulant vers l’estuaire,
Mon chant de matin frais à nul autre pareil
Ou l’âme se repaît de l’horizon vermeil.
Capture mon espace et respire ma vie
Lumière qui t’enlace, tenace, et qui te suit ;
Goûte mon existence et comble ton désire,
Oublie-en l’insolence, laisse-la t’aceuillir.
Vole sur mes nuées, partage mes silences
Laisse oi t’emporter vers la magnificense
Où nul n’aura jamais savouré cet émoi
Qui transcende un matin défiant toute la loi.
Loup
4/02/04
Vide de tout, vide de rien
Comme un corps traversé d’une main
Un souffle de vent invisible
Balayant tout, et l’impossible
Sourires disparus depuis longtemps
Si loin échoués dans ma mémoire
Comme une pause en Noir et Blanc
Mais reste-t-il un seul espoir ?
Et comme perdu dans la brume
Ne reste seulement qu’une plume
Écrire est la seule échappatoire
S’éloigner de ce vide, de ce noir
Monde inexistant sans couleurs
Même plus de larmes, ni de pleurs
Qu’une âme invisible du passé
Pas ici, ni là-bas, trop pleuré
Il ne reste plus rien d’«avant»
N’existe aucun «maintenant»
Comme s’il ne servait à rien de rêver
Être perdu, être oublié …
ptiitexetoile
Il y avait une fois un roi qui avait offert un prix à l’artiste qui |
par Henri Verbert
Sur l’Eau
Dans l’Eau
Résonne le Son
D’une Voyelle féminine
Cerclée de Perfection
Elle rassemble en son Coeur
Une Beauté emplie de Contradictions
Car son Centre est le Point exact
Où se rencontrent
La Violence des Torrents
Et le Calme apaisant des Étangs
La Virilité de l’Océan
Et l’Ambiguïté féminine des Mers
La Chaleur des Geysers
Et le Froid tranchant des Banquises
Le Bleu Marine des Fonds océaniques
Et l’Azur de la Pluie
Aux Reflets prophétiques
L’Eau est cette douce Tendresse
Pointée sur un Sein qu’on caresse
Et la parfaite Transparence
D’un Ciel à l’Horizon immense
Pourtant lorsque son Rire se vide
On y puise des Larmes acides
27/07/96 ( je ne connais pas le nom de l’auteur)
J’ai envie de voyages
Dans des lieux de mystère
Vers d’autres paysages
Il en est tant sur terre
Certains jours tout est gris
Rien ne me semble beau
Et d’autres jours j’ai envie
De voir un joli tableau
J’imagine un grand champ
Où l’herbe serait verte
Avec des fleurs dedans
Et notre jolie maisonnette
Pour rehausser mon pastel
J’y mettrais tout là-haut
Des oiseaux dans le ciel
Dans l’herbe des chevaux
Un ruisseau y coulerait
Avec un joli ponceau
Les canards s’y baigneraient
J’aurais mes deux pieds dans l’eau
Il ferait toujours soleil
Les pommiers seraient en fleurs
Chaque matin à mon réveil
Je serais rempli de bonheur
Je voudrais toujours vivre ici
Ce serait un peu le paradis
Voici depuis des décennies
L’image que j’ai de la vie
Claude Marcel Breault
Sur la musique du silence
Dansent, dansent les flocons blancs
Qui se balancent
Et qui s’en vont
Tisser une douce couverture
Pour la terre qui s’endort
Sur la musique du silence
Dansent, dansent les flocons blancs.
Jacqueline Mériot
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